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Récit d’une de mes soumises
Cet homme est à moi. À mon entière merci. Je le sucerai toute la nuit s’il le faut, mais il m’appartient. J’ai conscience que le sucer ainsi, comme une pute en chaleur, peut paraître avilissant, mais je sais bien, au fond de moi, qu’avec son sexe entre mes lèvres, c’est moi qui le domine et le tiens en laisse.

Avec regret, j’interromps ma pipe et tente de reprendre mes esprits. Sous le foulard qui lui cache les yeux, je devine ses mâchoires serrées. Tu aimerais que je te reprenne, hein ? Tu aimerais sentir à nouveau ma langue épouser la forme de ta queue ? Ou que je te branle avec douceur pendant que je te lèche les couilles ?

Patiente un peu, mon tout beau. Je vais te faire jouir, oui. Comme jamais tu n’as joui. Mais c’est moi qui déciderai quand et comment.
Je vais dans la salle de bains et me sers un verre d’eau. Je m’efforce de le boire doucement. Maintenant que je suis calmée, il s’agit de faire durer le plaisir. Je vais tailler à ce salaud la plus belle et la plus longue des pipes. Et toutes les petites putes qui me suivront auront beau le pomper à leur tour, ce ne seront que des fellations de débutantes, malhabiles et bâclées.
Je retourne me mettre à quatre pattes entre ses cuisses. Cette fois, je l’attaque en douceur. J’ai décidé de ne pas me servir de mes mains. Je ne veux que mes lèvres et ma langue sur son sexe tendu. Je le lèche tout le long de la tige, en de patients et langoureux allers et retours. Ma langue s’enroule autour de son gland, puis redescend doucement, pendant de longues minutes. Je suis trempée, mon humidité coule le long de mes cuisses. Alors, sans cesser ma succion, je retourne me fouiller la chatte. Je me sors le clito et le caresse en rythme. Sous l’effet de l’excitation, j’ai cessé mes coups de langue pour recommencer à le pomper. Mes mouvements de nuque épousent ceux de mon doigt. Je me branle et le suce en cadence, de plus en plus vite, de plus en plus profond. Je le sens à nouveau prêt à exploser. J’arrête mes mouvements, mais la frustration est trop douloureuse. Je veux qu’il me fasse jouir, seulement j’ai peur qu’il ne puisse se retenir si je commence à le chevaucher.
Alors, je remonte le lit sur les genoux, viens m’asseoir sur son visage. Sans ménagement, je lui colle mon sexe trempé sur la bouche, l’agrippe par les cheveux, l’oblige à me lécher. Je lui imprime une cadence infernale, je veux qu’il me broute comme je le suce, sans répit ni temps mort. Je sens sa langue qui me pénètre, il secoue la tête dans tous les sens, comme s’il voulait me la rentrer dans la chatte, il me mordille le clito, le suçote, le lèche. Je lui tiens la tête de toutes mes forces, mon bassin s’agite frénétiquement, et enfin, je jouis dans un long miaulement. Au plus fort de mon orgasme, je me sens ruisseler sur son visage.
Je m’allonge à ses côtés, mais je ne suis pas rassasiée. Le nez contre sa joue luisante, je sens l’odeur forte de mon sexe. À petits coups de langue, je lui lèche la figure et savoure le goût salé de mon propre sexe.
J’ai encore plus envie de lui. Et je veux qu’il me supplie de le finir.
Alors, je retourne entre ses cuisses et recommence à le sucer, encore et toujours. Quand je le sens prêt à jouir, je m’arrête, me repose quelques minutes, la tête sur son ventre. Je lui griffe délicatement les cuisses de mes longs ongles, lui malaxe les couilles avec douceur. Je lui crache sur le gland et le branle à gestes lents, puis je le pompe férocement, encore et toujours.
Au bout d’une heure de ce petit jeu, je sens mes lèvres qui se crevassent, ma nuque qui devient douloureuse, mais surtout, je le sens bander moins fort. Il est trop excité, et à force de repousser l’échéance, je crains que son sexe ne perde de sa sensibilité. Il lui faut un coup de fouet.
Je le saisis par les hanches, l’oblige à relever le bassin, les jambes à demi relevées. Puis je lui agrippe la bite d’une main pendant que je le lèche en dessous des couilles. Je descends de plus en plus et finis par lui laper le cul. Il remue alors en tous sens, mais je tiens bon et je lui force l’anus avec le bout de ma langue.
Je ne sais pas s’il tente de se dérober, ou s’il implore au contraire que j’accélère le mouvement. Mais il n’a pas à décider. Pas ce soir.
Il y a dix jours, il a profité qu’il me baisait en levrette pour me sodomiser. Je n’ai pas eu le temps de protester. Il ne m’a rien demandé, m’a agrippé la nuque, m’a craché entre les fesses, m’a enculée.
Alors à mon tour, sans crier gare, je lui glisse un doigt dans le cul. Il s’agite, se contracte et tente de m’échapper, mais plus il bouge, plus mon majeur s’enfonce. Finalement, il semble accepter mes choix, cesse ses ruades, et tandis que mon doigt va et vient dans son anus, je lui lèche les couilles en le branlant frénétiquement.
Je sens qu’il est temps d’en finir.
Je lui enlève le bandeau des yeux et lui ôte les bas qui lui entravent les poignets. Il est ruisselant de sueur. Il a les mâchoires crispées et les yeux exorbités. Sitôt le deuxième bas enlevé, je retourne au bout du lit et me mets à quatre pattes. Je m’enfouis le visage dans les bras et me cambre au maximum, ouverte, offerte, prête à me faire prendre en levrette ou même, si telle est son envie, à me laisser enculer à nouveau.
Mais contre toute attente, il saute du lit, le contourne, m’agrippe par les cheveux et me relève la tête brutalement. Surprise, je pousse un cri de douleur, mais il s’en fout. Il se tient la queue à pleine main. Elle est énorme, congestionnée. Il me fouette le visage avec, me l’écrase contre le nez, contre les yeux. Il se branle comme un furieux en me giflant avec son sexe. Je mouille comme une folle et, la bouche avide, tente de le lui avaler.
Il me saisit alors la tête entre ses deux mains puissantes, me l’immobilise et, dans un grand coup de reins, me fourre sa bite jusqu’au fond de la gorge. Je réprime un spasme et comprends où il veut en venir. Pendant plus d’une heure, je l’ai sucé, repoussant un nombre incalculable de fois le moment de sa jouissance, sourde à ses supplications. Alors, il veut me faire payer et finir comme on a commencé.
Il me baise littéralement la bouche. Ma tête est maintenue dans un étau, et son sexe navigue à une vitesse folle.
Il me pistonne comme un a****l en rut. Sa bite rentre et sort de ma bouche de plus en plus vite. Son gland force tout, se cogne contre mes dents, me martyrise les lèvres, me déforme les joues, s’enfonce dans ma gorge. Je gémis de douleur et de plaisir mêlés et jappe comme un chiot chaque fois qu’il me l’enfonce.
Je ne veux pas être en reste : je serre les lèvres à les faire saigner, ma langue s’agite à toute vitesse, et je sens la grosse veine de son sexe gonfler. Il va exploser. Je lui att**** les couilles, les serre doucement.
Il pousse un long râle et jouit enfin dans ma bouche. Son sperme jaillit avec une puissance telle que des jets chauds et salés me coulent directement dans la gorge. Son sexe lâche tant de foutre que je n’arrive pas à tout avaler. De longues chandelles de sperme débordent de ma bouche et coulent le long de sa bite.
Ses jambes se dérobent, et il tombe à la renverse sur le lit. Je l’enjambe et lèche à petits coups de langue tout le sperme répandu que je n’ai pu avaler.